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Tel qu’il est livré à un transporteur, un camion actuel dispose d’un éclairage efficace et, surtout, réglementaire. S’équiper d’un éclairage additionnel en restant dans le cadre de la légalité limite très fortement les possibilités. Il n’en reste pas moins qu’il existe une tolérance de fait. Ceux qui roulent la nuit apprécient parfois que leur camion « arbre de Noël » soit identifiable par les collègues. Cela participe à la relation intime que le chauffeur entretient avec son outil de travail.

Les possibilités d’ajout d’éclairage additionnel sont très limitées si l’on s’en tient aux articles R313-1 à R313-32 du code de la route. En les respectant, on pourra installer une seconde paire de feux de route (« longue portée ») si le véhicule n’en a initialement qu’une seule, une paire de feux de brouillard avant si le véhicule en était dépourvu, un second feu de brouillard arrière si le véhicule n’en avait qu’un, un second feu de recul si le véhicule n’en avait qu’un, et une paire de feux avant diurnes si le véhicule n’en avait pas. Quant à la hauteur des phares, leur plage éclairante doit se situer, au pl

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