La conjoncture. « Nous avons senti un très net ralentissement dans notre activité de transport automobile à partir de janvier. En ce mois de mars, période généralement favorable, la situation semble s’être stabilisée. La logistique se maintient de son côté, car il y a moins de mouvement. Tous les parcs de stockage sont pleins. Nous sentons que le marché de l’occasion repart, ce qui est une bonne nouvelle. Au global, notre chiffre d’affaires sur l’exercice 2024-2025 devrait baisser de 5 à 8 %… Mais l’activité est encore plus compliquée dans d’autres marchés, par exemple chez des confrères spécialisés dans le bâtiment ».
La hausse des coûts. « Nous parvenons à répercuter l’inflation généralement sur les gros volumes, mais nous avons aussi dû revoir les prix à la baisse sur certains flux. La dernière hausse, celle des grilles conventionnelles, a été important
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