Le point sur la conjoncture. «On sent vraiment en ce moment une frilosité au niveau de l’activité. Habituellement, le mois de juin est une grosse période pour le bâtiment, qui représente plus des deux tiers de notre activité. Or actuellement, on travaille, certes, mais sans grande dynamique. Et parallèlement, on reçoit plus de CV… Bien que nous n’ayons jamais eu trop de problèmes pour recruter, nous sentons actuellement plus de possibilités de recrutement, surtout ici, sur notre site montbrisonnais qu’en Ile-de-France.»
Une incertitude pesante. «Le contexte économique est compliqué. La guerre en Ukraine, après la crise sanitaire, la pénurie des matériaux, l’inflation, la difficulté à obtenir un prêt, les taux élevés, ont un effet sur la construction. Mais cette ambiance générale pèse sur le moral. Les gens ont plus de mal à s’engager
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