Partie 2/4. Cette semaine, dans ce dossier consacré à la sinistralité, nous nous penchons sur le bien-être au travail qui est devenu un enjeu majeur pour toutes les entreprises qui voient la qualité de vie et des conditions de travail comme un vecteur d’attractivité. Dans cette 2e partie, nous abordons les différents axes à considérer pour limiter la sinistralité : embarquer les collaborateurs dans le projet, investir dans le matériel ou encore l'enquête après accident. À terme, ce sont aussi des gains économiques non négligeables.
Si diverses solutions existent pour améliorer la santé et la sécurité des salariés (équipements, dispositifs d’accompagnement, formations…), il est essentiel d’impliquer les collaborateurs dans une démarche de prévention si l’on souhaite faire baisser la sinistralité, notamment routière. Car le comportement des conducteurs a un impact majeur sur la sinistralité de la flotte et donc sur le coût de l’assurance. En proposant des formations de conduite responsable aux chauffeurs et en communiquant sur les risque
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