Jusqu’où peut-on se tromper dans les déclarations ou le paiement des cotisations sociales ?

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Un décret adopté le 11 octobre dernier (n° 2019-1050 ) met en pratique le droit à l’erreur des entreprises face à l’administration, qui avait été établi par la loi du 10 août 2018, dite Essoc(1). Le texte apporte des précisions sur la dispense de sanction en cas de retard, d’omissions ou d’inexactitudes dans les déclarations et le paiement des cotisations sociales.

En principe, vous pouvez désormais échapper aux sanctions de l’administration lorsque vous avez méconnu une règle ou commis une erreur lors de vos déclarations sociales et fiscales dans certains cas. Ce droit à l’erreur s’applique si celle-ci est commise pour la première fois ; si vous avez régularisé la situation de votre propre initiative ou après avoir été invité à le faire par l’administration dans le délai indiqué par celle-ci et si vous avez fait preuve de bonne foi, c’est-à-dire sans intention de frauder. Mais, attention, certains manquements continuent à faire l’objet de sanctions. Les pénalités applicables pourront être modulées selon votre situation en vertu du décret du 11 octobre 2019.

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