Le transport de déchets dangereux a besoin de règles claires

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La logistique des déchets dangereux est rendue complexe faute de prescriptions précises en matière d’emballage et d’étiquetage, ainsi que de règles ADR adaptées. L’Association des conseillers à la sécurité pour le transport de marchandises dangereuses appelle à une clarification.

Thème de la journée d’information de l’ACSTMD, fin 2019, la logistique consacrée au traitement des déchets dangereux est dans la majorité des cas soumise aux règles ADR lors de transports routiers. Pour illustrer les défis et enjeux de leur organisation, les membres de l’association se sont déplacés sur le site Seveso de Sarp Industries à Limay (78). Soit l’un des plus gros complexes européens dédiés à cette activité. Au moyen de différents systèmes comme l’incinération, des process physico-chimiques, biologiques ou l’évapo-condensation, près de 200 000 tonnes de déchets industriels ou ménagers dangereux, liquides comme solides, y sont réceptionnés chaque année. En fin de chaîne, leurs résidus « ultimes » stabilisés et neutralisés sont dirigés vers des décharges de classe 1 contrôlées par l’administration.

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