Des limites à la barémisation

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Nouvelles indemnisations en cas de licenciement sans causes réelles et sérieuses

L’instauration du barème obligatoire par l’ordonnance 3 dans le cadre des sanctions de licenciements sans cause réelle et sérieuse a été validée par le Conseil constitutionnel le 7 septembre. Pourtant, la constitutionnalité d’une telle mesure apparaît contestée par des conseillers prud’homaux qui pointent également des possibilités de contournement du barème.

Depuis le 27 septembre, un barème obligatoire sanctionnant les licenciements sans cause réelle et sérieuse est en vigueur pour les saisines déposées à partir de cette date dans les Conseils prud’homaux. Objectif affiché par le gouvernement : permettre au chef d’entreprise de pouvoir chiffrer le coût éventuel d’un procès aux prud’hommes en cas de litige après un licenciement et, ainsi, lever les freins à l’embauche. En 2015, alors ministre de l’Économie, Emmanuel Macron avait déjà souhaité, dans le cadre de sa loi « Croissance et activité », encadrer les montants de ces indemnités. La mesure avait été rejetée par le Conseil constitutionnel, lequel avait jugé le critère lié à la taille de l’entreprise contraire au principe constitutionnel d’�

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