Le 26 février, l’IRU est revenu sur l’épisode du mouvement agricole et des conséquences sur les transporteurs routiers de marchandises. Après avoir incité les autorités nationales et l’Union européenne à déployer des corridors pour l’acheminement des produits de première nécessité, l’organisation réclame que les professionnels de transport touchés par le mouvement agricole soient dédommagés. En effet, les blocages des routes, les dégradations des véhicules et les pertes des marchandises engendrées par les manifestants ont eu d’importantes conséquences économiques pour les opérateurs de transport. « Trop c'est trop. Des chauffeurs et des transporteurs innocents essaient simplement de faire leur travail, en acheminant des denrées alimentaires et d'autres produit
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