Beaucoup de projets en logistique urbaine ont été lancés et financés par de l’argent public sans atteindre les résultats escomptés en matière de « massification et de généralisation » ou de « réduction de ses impacts négatifs », constate l’Ademe. Selon l’Agence, la logistique du dernier kilomètre serait à l’origine de « 25 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) en ville, plus d’un tiers des polluants atmosphériques et occuperait 30 % de la voirie ». Elle représenterait « 20 à 50 % du coût total d’un transport de fret » et son organisation serait perfectible. Dans l’e-commerce BtoC par exemple, le taux d’échec à la livraison serait compris « entre 5 à 40 %. Il faut donc franchir un nouveau cap, mettre en œuvre une nouvelle approche coopérative et intégrale », propose Yann Tréméac, chef de service transport et mobilités de l
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