Richard Tilagone : L’Ifpen s’intéresse depuis très longtemps à l’hydrogène molécule, car il est produit en grande quantité pour les procédés de traitement du pétrole et en pétrochimie, notre métier historique. Ses applications pour la mobilité émergent depuis quelques années. Cela est lié à la volonté d’interdiction à terme des carburants issus du pétrole dans le transport et aux instances législatives qui incitent à la recherche d’énergies alternatives décarbonées. Ce qui a conduit l’ensemble des acteurs à revoir leur copie pour promouvoir des énergies et des solutions technologiques afin de réduire la pollution locale et diminuer l’empreinte carbone de la mobilité.
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