Encore réservé aux flottes captives, le B100 a déjà conquis pas mal d’entreprises de TRM, pour sa naturalité et sa capacité de décarbonation, mais aussi parfois pour favoriser un circuit court et local. Les surcoûts ne sont pas anodins, mais le jeu en vaut la chandelle.
Il n’a pas d’odeur et ses fournisseurs le font même goûter, afin de prouver sa naturalité : carburant à base de colza, le B100 séduit de nombreux transporteurs, d’autant que les véhicules l’utilisant à titre exclusif obtiennent la vignette Crit’Air 1. Il vient en outre de bénéficier d’un assouplissement règlementaire : bien qu’il reste réservé aux flottes captives, un arrêté gouvernemental paru fin juin a autorisé les utilisateurs à se ravitailler dans plusieurs cuves, et à avoir recours, dans certains c
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