La réduction des émissions de gaz à effet de serre est rarement valorisée dans les travaux sur la logistique urbaine. Pour durer et se développer, les solutions décarbonées sur le dernier kilomètre doivent démontrer leur pertinence économique et leur rentabilité… sauf à être perfusées d’aides publiques. La démarche Extrême Défi Logistique en étudie trois. Ses premiers travaux montrent que le nombre de remettants et les volumes remis sont déterminants pour la pérennité des organisations logistiques urbaines.
Réduire de 20 % les coûts opérationnels, les émissions de gaz à effet de serre et le taux d’échec à la livraison d’ici 2026. Les objectifs de l’Extrême Défi Logistique sont ambitieux. Depuis mars, ce programme initié par l’ADEME « vise à déployer et à concevoir des solutions d’optimisation en logistique urbaine », expliquait Tristan Bourvon, chargé de le piloter lors de son lancement. Trois solutions ont été retenues : le Centre de distribution urbain mutualisé (CDUM), le micro-hub et les
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