L’hydrogène pour les transports : du pire au meilleur

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Une note de l’Ademe consacrée à l’hydrogène considère que ce vecteur énergétique est particulièrement adapté au transport de marchandises, à condition de provenir d’énergies locales et renouvelables.

Les futurs camions rouleront-ils avec une batterie électrique ou bien seront-ils propulsés par une pile à combustible alimentée par de l’hydrogène ? Loin d’opposer ces modes, la dernière fiche technique sur l’hydrogène publiée début avril par l’Ademe vient suggérer que ces deux technologies sont plutôt complémentaires, avec chacune ses avantages et ses limites. Commençons par les camions électriques, dont la faible autonomie les limite actuellement à des tournées urbaines dans des municipalités souvent hostiles au diesel. À titre d’exemple, le rayon d’action de l’eActros ne dépasse pas 200 km. L’Ademe préconise ainsi de privilégier l’hydrogène, qui offre une autonomie bien supérieure, pour les utilitaires et camions de livraison avec des trajets quotidiens importants, de surcroît lorsqu’ils livrent des produits réfrigérés. De plus, le temps de ravitaillement est équivalent à celui d’un véhicu

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