La conjoncture actuelle. « Sur la fin de l’année 2023, nous avons observé un ralentissement de l’activité, tendance qui se confirme sur les premiers mois de 2024. Par conséquent, nous avons davantage de difficultés pour optimiser le remplissage des camions, et notamment éviter les retours à vide. Avec ce contexte, les clients tentent de revoir les prix du transport à la baisse, en initiant de nouveaux appels d’offres. Bien que le pied de facture sur le gazole soit compris, le plus dur est de faire accepter celles sur les autres postes de coût connue les dernières années : les salaires, le matériel, les assurances, les pneumatiques, les péages routiers, etc. Avec cette inflation et ce ralentissement de la demande en transport, nous nous attendons donc à un premier semestre 2024 difficile. En matière d’investissements, les prix actuels des véhicules et les taux bancaires sont prohibitifs pour le moment, et cela ne pour
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